Le médecin pose le diagnostic en fonction des manifestations cliniques et des résultats sanguins, à savoir la présence d’anticorps anti-phospholipides à 2 reprises à plus de 3 mois d’intervalle.
Les personnes atteintes d’un lupus érythémateux systémique, vont faire l’objet d’une surveillance de leurs taux d’anticorps anti-phospholipides pour déceler l’apparition éventuelle d’un SAPL
secondaire.
Le SAPL n'est pas une maladie génétique à proprement dit, ne se transmet pas de parents à enfants. Il ne s'agit pas, non plus, d'une maladie contagieuse.